Quantcast
Channel: Le blog de Liane D'Argueil
Viewing all 220 articles
Browse latest View live

Paris Escortes


20 Mai 2016

$
0
0

18-Mai-2016---putain 407718-Mai-2016---putain 407418-Mai-2016---putain 406618-Mai-2016---putain 404218-Mai-2016---putain 4036Je reviens sur. C était. Mercredi déjà. Ah, BG. Quatre fois dans ma bouche, cinquante six minutes à peu près un peu plus à le sucer. C est lui qui m'avait demandée, il y a un an, plus, maintenant, si je voulais être sa putain.

Je ne la suis pas, strictement parlant. Je m'appartiens encore. Mais il est sûr que j'aime le sucer et faire des cochonneries avec lui, selon ses désirs.

Je m'appartiens encore. Entendons-nous, parce que personne ne m'a mis le grappin dessus. Depuis José, c'était il y a des années désormais.

Mercredi, j'avais commencé avec D. Avec M. d'abord, un jeune magrhebin, filet de poils noirs sur le torse, longiligne, la peau doucement ocre. Bouche et chatte et son souffle quand se libérant en moi.

Avec D. ensuite. Lequel me plaît, je n'en disconviens pas. Il a de faux air romantique, une allure de Michel Delpech, des tendresses comme c'est rare que j'en reçoive. Ce mercredi, aux environs de midi, un peu avant, il m'a prise et j'ai senti, cette fois, ses soubresauts tandis qu'il finissait de se vider en moi. Lui, il peut me prendre, le sexe nu. Comme il a dit, ' je vais t'engrosser". Nous nous  connaissons assez pour que je lui fasse confiance. Je sais qu'il me goûte assez pour me respecter. Et puis il m'a dit que jamais...

Je l'ai sucé avant et après. Et puis il est reparti vers, je ne sais plus exactement, disons avant 13 heures, cela me semble évident.

R, aurait dû venir, mais j'avais tergiversé, il y avait aussi des mouvements de grève dans les transports, semble-t-il. Il n'est pas venu, en juin désormais. Un jeune black sur Facebook voulait, mais nos horaires ne collaient pas cette fois. Plus tard également.

Il y a eu G., déjà venu, commerçant d'un certain âge, rond et mou, la peau blanche noircie de poils. Petit sexe dans un nid fourni de poils grisonnants. A genoux, le sucer, en bord de lit. Son crâne lisse par endroits, dégarni ailleurs. Ma main caressant sa peau lisse, quelques cheveux rêches. Son sexe durcissant, mais en passe toujours de retomber. Une pastille de sperme sur la fin. Il aime fourrer ma chatte des godes à dispo. Je fais attention de sortir les plus doux, car il n'est guère délicat avec. Il aime aussi que je lèche sa raie, que je hume son cul. Je crois, d'ailleurs, que ceci l'excite plus que ma bouche sur son sexe.

13hs 50. Fini. Je pensais voir BG alors, mais celui-ci arrivera plus tard. Il restera presque une heure, jusque 15hs presque. Je l'avalerai quatre fois. Il sera satisfait.

15hs15, un black, relation de mon black de ces derniers temps, viendra me prendre. J'aurai auparavant lavé ma chatte, à regret, de la semence de D. Pas évidente à recueillir. Juste avec une poire - bricolée par moi. Peau lisse et sombre de l'homme, douce à la main, tiède. Délicat, mais ferme.

J'aurai proposé ensuite à Redan et son ami de venir. Trop tard pour qu'ils puissent se retourner. Une autre fois.

Quant à Nico, il pouvait mais trop tard, alors que je fermais pour cette fois.

20 Mai 2016 ( suite)

$
0
0

vlcsnap-2016-05-18-12h48m29s634vlcsnap-2016-05-18-12h44m50s376vlcsnap-2016-05-18-12h43m50s860vlcsnap-2016-05-18-12h41m16s123vlcsnap-2016-05-18-12h31m52s077vlcsnap-2016-05-18-12h37m49s203vlcsnap-2016-05-18-12h36m44s255J'avais fait une bonne journée. X Models, j'y vais parfois, mais je ne sais pourquoi mes vidéos n'y passent plus. Je leur ai dit, mais ils ne semblent pas comprendre pourquoi. Donc, j'y vais moins, mais c'est passager. D'ailleurs, sur XTUBE, tapant Daty 92, Liane Dargueil, on a accès à trois quatre vidéos pas mal, même si pas celles que j'ai en réserve et que je ne parviens pas à passer sur les sites X.

Bref, je reste visible, même si parfois on peut penser que non. Je me suis inscrite comme escorte sur d'autres sites que Lady Xena ou Escortbook ou C Magic ( pas sûre qu'encore) ou d'autres encore. Quand pas trop lasse etc. je peux encore m'en faire cinq ou six des passes en trois quatre heures de mon temps.

Je dis ça aussi à V. Ou d'autres qui parfois se cognent à mon silence. Il est vrai aussi que quelques rencontres m'ont tourné la tête. Parfois, je porte une Main de Fatma à mon cou. C'est celle d'A. qui, la soixantaine aisée, fils de famille selon ses dires, m'a découverte sur RabbitFinder, il y a des mois. Fort courtois, nous avons échangé ensuite par hotmail. Il m'invitait d'abord en Tunisie, mais, sans dire non, je n'ai pas dit oui. Il est venu, une fois, en me disant qu'il voulait que je porte une de ces mains de Fatma, afin qu'il sache toujours que je pense à lui, même avec d'autres.

Alors, je fais.

Et puis V. Et puis R. Ou encore Jef, écrivain talentueux, venu deux, trois fois, mais assidu correspondant. Et d'autres que je vois moins comme O. ou Dom ou ce versaillais qui goûtait trop des godes dans le cul et qui m'aura partagée avec un autre. Ou Bruno, bel étalon. Etc.

Quoi que je fasse, je suis devenue cette bouche à jus, chatte lubrique que d'aucuns m'annonçaient. Comme André, quand il me collait sur ses cuisses, et me branlant, me répétait que désormais je ne serais plus qu'une bouche à bite, que plus rien ne comptrait que les hommes et ce qu'ils avaient entre les cuisses pour moi. Et je devais, à mon tour, le dire tandis que sa main me faisait jaillir et qu'il m'en barbouillait bouche et visage en me traitant de pute, sale pute, bouche à jus, chienne à mec et j'en passe, ayant oublié certains.

Je revois son entrejambe de taureau, énorme, blanc, ses lèvres écartelées, ses petits yeux noirs, l'emprise que tout de suite il avait eue sur moi.

22 Mai 2016

$
0
0

Salope! il me gifle. Verdure abondante, dégoulinant d'eau. Feuilles effleurant vitres, bruit exaspérant. Un chat ( chatte ?) passant à travers eau et feuilles. Silence des beaux quartiers. Le trouble toujours, aller dans les rues, clarté inquiète aux murs, lumière sèche, mues.

Oui, j'aime ça. Oeil cerné de noir, bouche très rouge. Comme déchirée, mordue par l'amant. J'aime aussi ces suçons qu'ils me laissent parfois, preuves d'un appêtit très précis.

Je ne sors plus trop ces temps-ci c'est vrai. Je reçois plus souvent que je ne sors, presque toujours ces derniers temps. Lassitude profonde, maladie.

26 Mai 2016

$
0
0

24-Mai--2016 413224-Mai--2016 4270Cruauté. Plus guère de lecteurs. On ne pardonne pas grand chose. Je poursuis mon chemin. Hormones, repos, quelques rencontres. Mais je regrette ces infidélités ici. Je m'efforce toujours de satisfaire, la maladie hélas...Je m'efforce aussi à la vérité toujours et donc, quand j'ai peu à relater, je n'invente pas pour relater quand même. J'ai été comblée par D ces derniers temps, et j'aurais voulu encore, mais il ne répondait pas à mes propositions.

D c'est Dany. Et je pense que BG n'est pas insensible à mes seins qui poussent on me dit, quand j'ai parfois des doutes.

 

Je pense aussi à Daty92. Regrette de ne pouvoir mieux lui témoigner ma fidélité infidèle. Chacun de mes mots vers lui auront été vrais. Si les circonstances nous ont éloignés, ces derniers mois, je pense souvent à lui et je regrette. Mais souvent on ne fait pas exactement ce que l'on voudrait. Et le désir demeure versatile, j'en sais quelque chose.

Enfin, si ce n'est pas Y que je regretterai toujours, Y vu si souvent, avec qui des nuits ensemble, en  2014 et qui, d'un coup, ne m'aura plus sollicitée, sans que je comprenne bien, puisque sans explication. Oui, si ce n'est pas Y, mon black qui vient ces derniers temps sait me prendre et me bourrer la chatte. Il manque juste la tendresse, laquelle s'estompe à mesure. Peut-être, avec V ou R en Juin, s'ils me reviennent et que je suis en état de les accueillir.

Là, je pars quelques jours à Nice me requinquer. Pas sûre que je rencontrerai ou me ferai quelques clients. Mais bon, j'y vais aussi pour autre chose...Je n'oublie pas non plus que j'écris.


2 Juin 2016

$
0
0

vlcsnap-2016-05-25-15h58m46s893vlcsnap-2016-05-25-16h01m43s834vlcsnap-2016-05-25-16h02m34s539Je. Bref. Je suis à Nice pour quelque temps. J'avais affaire. Je ne connaissais pas. Ces façades ocre, ces clochers ajours. J'avais affaire d'abord dans l'arrière-pays proche ( une trentaine de kilomètres de Nice) Pierres blanches, éboulis, comme, dans des coulées vertes d'arbres. Dans une maison neuve, pas très belle, sans style, comme on fait maintenant. Le jardin avec ses troncs d'olivier éclatés ( je voyais la série des Oliviers d' Edouard Pignon) éventrés - où des chouettes sans nul doute. Le jardin était étagé, chaque étage séparé du suivant d'un muret de pierre. Dans la brume de certains jours ( je pense à dimanche notamment) on entendait les cloches des moutons et un braiement d'âne rouillé - une poulie rouillée sur laquelle on remonte l'eau dans un seau.

Je n'étais pas là-bas pour le sexe. Néanmoins, j'ai rencontré un homme et je prolonge un peu de ce fait. Je l'ai rencontré au détour de ces ruelles étroites, encaissées du vieux Nice. Il est venu me chercher, après un contact rapide par sms. Je suis avec lui depuis lundi fin d'après-midi. J'apprécie le côté roccoco de certaines demeures comme de certains hôtels dans Nice. La promenade des Anglais est kidnappée par certains grands hôtels et il est difficile de s'y promener à proximité de la mer. Il faut s'allonger sur l'espèce de rocaille pour bronzer ou simplement goûter les embruns et écouter aussi la respiration de la mer sur la rocaille.

Un femme, seins nus, déjà toute bronzée, brunie même, m'a émue. Sses seins surtout que j'aimerais avoir pareils. Il y a un type sur Flickr ( un maître) qui m'a fait compliment de lévolution de mon corps. Sur Flickr, je suis Liane Dargueil et j'y montre pas mal des photos que j'ai mises ici. Néanmoins, devant ces seins, pourtant pas si gros et qui s'écroulaient, de part et d'autre, comme des crèmes bien brunies, j'ai flashé. Mais bon!

Je ne voudrais pas des gros seins, mais une poitrine adolescente, avec ces museaux qui pointent. Je ne sais pas si. Mais ce maître m'assure qu'on voie vraiment l'évolution vers la féminité de mon corps. Je veux bien le croire.

Bref, c'est amusant de marcher dans les rues de Nice, rues ombragées, avec commerces de luxe, commerces qu'on retrouve partout pour beaucoup. Il y a même une rue avec rien que des commerces et hôtels anglais. Entendu d'une vieille femme à ( je suppose) son mari : Nous ne sommes pas vraiment en France. Il est vrai qu'il y a une multitude de langues, de peaux, de couleurs de peaux ( j'ai même croisé deux trans brésiliennes qui marchaient, assez laides, hommasses, non loin de la gare)  Il y a aussi des jeunes femmes, banalement vêtues, qui semblent faire le pied de grue aux abords de cette gare. Je n'ai pas réussi à savoir si c'en étaient ou pas des putes je veux dire.

Moi, c'est bien plus discret encore. J'aimerais être vêtue putain, mais je n'ai pas franchi le pas en plein jour. Je ne crois pas que je franchirai le pas, le noeud au ventre serait trop serré. Déjà, la nuit, le ventre se noue bien, et pourtant on est souvent seule longtemps, dans les rues, et quand on ne l'est plus, on est en pays de connaissance. Je veux dire, les Bois. N'empêche que même alors, il est préférable d'être un peu dans les vapes, pour goûter tout à fait l'air sur sa peau, la caresse de l'air sur le haut des cuisses et les fesses, alors que le peu de regards s'accrochent, s'offusquent parfois.

Après bien sûr, on n'est plus qu'un corps. Un moyen d'assouvir son désir pour des hommes pas trop regardants, pourvu qu'on fasse illusion. Dans la nuit, haut de pantalon ouvert, l'homme ne demande à la bouche que de le libérer du poids du désir.

Bref, voilà. Je suis à Nice. Je rentrerai vite quand même. Je n'ai pas trop de raison d'y rester. Je pensais m'y reposer, mais je me dois quand même un peu à cet homme. Il ne fait pas beau, temps variable en tout cas. Je pense que je repartirai demain, si toutefois la grève le permet. J'ai par ailleurs planifié une semaine entière de baise entre le 12 Juillet et le 19 Juillet de cette année. Pour ce faire, j'ai ajouté de nouvelles photos sur escortbook.com et aussi une vidéo. Et j'envisage de reprendre un abonnement afin d'en faire un site pour ma putasserie.

J'ai aussi besoin de. J'aurai des frais. Et bien sûr. Mais certains trouvent ça " glauque".

Photo

3 Juin 2016

$
0
0

17-Mai-2016 3953La fenêtre donne sur un palmier. Rideau qui vague enveloppe l'arbre rugueux parfois. Une mouette passe qui se confond avec les autos. Une autre silencieuse croise un avion qui monte. Un gros bateau encombre lentement l'horizon. Des corps bruns sont allongés voire affalés sur la plage, le bout de plage que la mer laisse. J'aimerais allonger mon corps pas assez féminin parmi les femmes qui bronzent.  Alors, rageuse, je suce mon homme. Il est beau, le corps certes relâché, mais beau visage anguleux, nez aquilin, et de beaux cheveux blancs. Son sexe n'est pas de première vigueur, mais il sait caresser. Il sait comment me donner du plaisir; la cravache n'est jamais loin. Il m'a vite démasquée, il est vrai qu'il suit mon blog ici et donc...

Quand il manque par trop de vigueur, il use de godes plus ou moins gros, plus ou moins longs, de différentes couleurs. Il en use dans ma bouche et ma chatte, de ma bouche à ma chatte, et aller retour. Dommage qu'il ne veuille de photos à partager ici ou, mieux et moins bien, de vidéos puisqu'elles ne passent pas ici.

Sinon, il me caresse de sa cravache et d'un fouet à lanières. Il me caresse ou me fouette. N'empêche que j'aimerais allonger mon corps parmi ces femmes, avec elles, comme elles. Je le suce, il m'emplit de son sperme. Cela ne suffit plus, n'a jamais suffi. Cravache et sperme. Mon visage peint de putain, peint comme pas une putain, s'il suffit à le faire bander, même insuffisamment, mais bander quand même, ne me suffit plus. Pas davantage que mon corps qu'on dit qu'il s'arrondit et devient féminin, mais que je ne trouve pas si, qui ne me suffit pas ainsi.

Alors je suce. Mais je sais aussi qu'il me faudrait des hommes, que je passe de l'un à l'autre sans cesser de sucer, d'être caressée, de me faire mettre. Oui, j'aime ça et je pourrais saisir mon sexe d'homme, sexe flasque, sexe racorni, mais sexe d'homme encore et doucement me frotter sur ma main, contre, afin de laisser le désir s'épuiser. Oui, mais non. Alors, je suce et écoute ses mots qui me disent si femme. Mais j'en aurai entendu de ces mots et je sais comme je suis femme, mais en même temps non. Jamais assez. Jamais.

Alors je vais repartir bientôt, remonter sur Paris, Sèvres, ma ville. Et...Mais qui viendra m'assouvir ? Deux, trois hommes selon les moments, cela ne suffit plus. Et mes amants m'oublient, ceux que j'ai goûtés. Ils m'oublient. Et je me fane, me fane, me fane.Jamais assez femme à mon goût.


9 Juin 2016

$
0
0

7-juin-2016 4353vlcsnap-2016-06-07-17h20m57s3837-Juin-2016 4516On est vite oublié. Ce blog en est la preuve. Plutôt, la courbe de sa fréquentation. A la vérité, on préférera toujours le mensonge bien enrobé. Je n'ai pas envie de mentir, même pour faire de l'audience. Ma quête est ailleurs, dans ma vérité. Je pourrais aisément inventer. Je ne le souhaite pas. Je suis rentrée de Nice en début de semaine. J'ai reçu le 8 quatre fois, dont Nico qui exige beaucoup de moi dès que je le pompe. Je me suis rendue compte que je récupérais moins vite. Je devais recevoir D, grippé il a renoncé, mais moi-même je n'étais pas sûre. Je devais recevoir hier R. dont j'étais amoureuse un moment; il ne m'écrit plus guère, sa passion est retombée, la mienne en écho tout pareil. Je l'avais averti que le 8 un concours de circonstances ( fuite chez moi, expertise, travaux) faisait que le 8 l'expert devait venir. C'était un malentendu, je le lui ai écrit, il n'a pas réagi. Finalement, le 8 au matin, il m'a dit qu'il ne pourrait pas. Sans doute, ne m'a-t-il pas cru ? Je le regrette, mais vu ce que j'avais subi le 7, c'était peut-être mieux, pour lui comme pour moi. J'essaie toujours de satisfaire. On a le droit de se vexer à tort. Après tout, on me paie, rien donc que de très normal. Je le regrette, car je m'attache à ma façon à chacun qui vient. J'ai donc joui autrement de la vie hier, soleil lourd, dans Paris. Les terrasses occupées, les femmes dénudées pour partie. J'avais à faire aussi du côté de St Sulpice.

La vie. Le chemin de ma vie. Ambre ancien d'un regard. Peau pincée finement de rides. Qui me retiennent. Une note vibre qui ne vibrait plus. Un battement quelque temps de coeur. Merci à elle.

14 Juin 2016

$
0
0

vlcsnap-2016-06-14-09h47m55s623vlcsnap-2016-06-14-09h56m59s922J'évoque ça aujourd'hui, j'y reviens tout du moins, parce que je suis amoureuse, et d'une femme. J'aimerais donc chasser un peu de ce qui m'est devenue naturelle, à savoir les bêtes des hommes, dans ma bouche et ma chatte. Or, je me rends compte, et pourtant je suis amoureuse, emplie de la douceur de ce sentiment-là, que je ne peux me passer de faire la pute auprès des hommes. Aujourd'hui, quoique heureuse d'un possible rendez-vous avec celle dont les yeux couleur ambre me poursuivent, je n'ai pu m'empêcher de me peindre les ongles d'orteil, de me faire ceux des mains, pour recevoir un inconnu depuis LadyXena.

J'étais accroupie à sucer son sexe, sexe court, épais, noirci de poil, comme ratatiné. Des larmes me venaient qui n'étaient pas toutes dues à la vigueur de son assaut. Selon son  ordre, j'avais saisi mon sexe entre mes cuisses et je devais me branler en écartant bien les cuisses, afin qu'il me voie bien, tout en le suçant toujours jusqu'aux couilles. Depuis BG je sais glisser ma langue sur les couilles, tout en étant bouche pleine de la verge. Il me tenait par les cheveux et je devais subir son assaut, tout en jouant de mes lèvres et ma langue et en me branlant mon bijou. Et je pensais à cet amour, à la douceur des yeux, aux yeux énigmatiques posés sur moi de celle pour laquelle donc j'éprouve cette douce lumière.

Il a fallu, alors qu'il explosait dans ma gorge, que je me finisse de ma main. Comme je n'y parvenais pas, trop nerveuse, le désir difficile à trouver depuis que 'anti-androgènes quotidiens, il a décidé de ne pas donner ce que je demandais, moins. Quand il est parti, je me suis allongée sur le lit et j'ai poursuivi la caresse jusqu'à jaillir, afin d'éloigner de moi ce goût malsain pour de tels hommes, telles façons.

J'ai donc joui, pas grand chose. Mais je sais maintenant comme A. avait raison. Comme je suis marquée (au fer rouge) de ces hommes, tous ces hommes qui me seront venus, pour lesquels, je crois avoir tout fait de ce que l'on peut faire. Je reste donc avec cette lumière au coeur, une lumière cruelle, car je sais que je ne pourrai échapper aux hommes. Que même des maîtres, tels le dernier, BL, peuvent m'avoir, il suffit qu'ils tombent au bon moment. Et m'avoir, tels qu'ils me veulent, c'est à dire, fouettée, cravachée, soumise à leurs désirs, même extrêmes. Prise à la file, par exemple, comme promettait BL, la seule fois qu'il est venu me cravacher pendant que je comptais, tant bien que mal, jusque dix en allemand.

Alors, je ne sais plus. Pour ce jour, je n'ai pas prolongé au-delà de cet homme. Mais j'ai rêvé sur ce qu'il m'avait fait, sur ce que je lui avais fait. Et, bien sûr, l'amour ne saurait aller par de tels chemins.

Et je le sais bien. Pour quoi, j''ai évoqué de nouveau  A. Prenant, hélas, du plaisir à me remémorer les moments passés en sa compagnie. Le début vraiment de ma dépravation.

Photos

Perdue

Perdue 2

Perdue 3

Perdue 4


Perdue 5

Perdue 6

Liane putain

Liane putain

20 Juin 2016

$
0
0

vlcsnap-2016-06-14-20h17m59s466vlcsnap-2016-06-14-09h49m02s15217-Juin-2016 489817-Juin-2016 4772Fin de journée, une journée noyée sous la pluie. J'ai rendez-vous avec S. mercredi. S. est une femme rencontrée lors d'autres de mes activités. J'en suis tombée amoureuse, c'est-à-dire que je ressens envers elle une émotion rare, quelque chose de lumineux.

J'imagine que notre rencontre se prolonge. J'ai peu reçu cette dernière semaine, essayant d'imaginer cette rencontre lumineuse. J'ai essayé, rattrapée quand même par ce qui m'aura tordue au fil des ans, le fait de vendre mon corps et plus.

Ainsi jeudi, j'ai reçu. Je voulais pas, garder pure ma pensée vers elle. L'homme, doré, de peau dorée, avec une quincaillerie de chaînes et médailles dorées. Gros, sans excès, moustachu. Il a voulu mon sexe. Je lui ai abandonné mon sexe et j'ai pensé ailleurs. Sa bouche cependant, sa langue...J'ai senti ce sexe qui n'exprime plus rien, dont je n'arrive presque plus à jouir, gonfler entre ses lèvres, sur sa langue. Il a enfoncé des doigts dans ma chatte après les avoir mouillés de sa salive et j'ai senti que je me vidais dans sa bouche.

Après, il m'a dit de me retourner et il s'est enfoncé en moi, dans ma chatte mouillée. Longtemps, jouant de son sexe dans ma chatte, lâchant des mots crus à mon intention. Me pressant les seins par moments. Et j'ai joui encore, oh presque rien, mais ses mots, son sexe, ce qu'il décrivait de nous a déclenché le plaisir quand même. Après, il a jailli à son tour dans ma bouche.

Après, je n'ai pas pleuré, mais j'ai été comme avec un corps brisé, le beau visage, les yeux ambre de S. sur moi comme impossibles.

Je crois que ce beau sentiment, cette émotion, cette lumière, je ne pourrai les poursuivre. Je suis par trop tordue par ces années à offrir puis vendre mon corps.

Viewing all 220 articles
Browse latest View live